À lire : « Nos identités celles qu’on nous impose celles qu’on nous cache »

Fruit du partenariat entre l’association Diveka et les éditions Rageot, le livre « Nos identités celles qu’on nous impose celles qu’on nous cache » fait la part belle aux diversités.

Écrire, c’est prendre le pouvoir et oeuvrer pour que nos histoires comptent.

Grace Ly

Cet ouvrage est l’aboutissement du concours d’écriture de nouvelles lancé pour promouvoir de jeunes talents issus de la diversité. S’y côtoient les trois ambassadrices dont le travail est bien connu des lecteurs·trices de Friction : la journaliste et autrice Jennifer Padjemi, l’écrivaine, réalisatrice et animatrice de podcast Grace Ly et Aya Cissoki, championne de boxe, comédienne et écrivaine et les trois lauréates : Sarah Sayssouk, Hawa N’Dongo et Nocturne.

Le concours a été organisé par les éditions Rageot et l’association Divéka qui fait la promotion et valorise la littérature jeunesse, les séries TV, les films et toutes les oeuvres culturelles à destination du jeune public, faisant la part belle à la diversité, qu’elle soit mélanique, culturelle, de genre, d’identifications sexuelles mais aussi le handicap.

Face au constat du manque de diversité dans la littérature et la littérature jeunesse, il s’agissait d’attirer l’attention sur l’absence de personnages racisés sur les couvertures des ouvrages mais également sur le manque de parole directe des personnes racisées en tant qu’auteurs et autrices.

La directrice des éditions Rageot, Murielle Couëslan mettait d’ailleurs en avant l’idée que ce recueil marque l’engagement de la maison d’édition en faveur de la diversité, en espérant « qu’il donne envie à des jeunes auteur·rice·s s’écrire, puis à de jeunes lecteur·rice·s de lire… et peut-être d’écrire à leur tour. »

« Nos identités celles qu’on nous impose celles qu’on nous cache », Divéka x Rageot, 13 avril 2022

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