Gang Bambi, le retour : la mixtape de Transterror
W.L.V.S : Manu Le Malin & Electric Rescue reviennent avec « Guilty » et des guests d’enfer
À lire : « Nos identités celles qu’on nous impose celles qu’on nous cache »
« insolente vacuité » symbolise l’irrévérence et l’autodérision qui sont les socles de l’édifice éditorial : rencontre avec Marine Alix
[CONCOURS] Friction t’invite au théâtre : « Je vais faire une longue promenade »
Festival LGBTQ+ Cinémarges de Bordeaux
Acid Arab dévoile l’album «Remixed»
[VENDREZIK] Les meilleur·e·s baby DJs du monde
On a vu pour vous Portrait Avedon-Baldwin : entretiens imaginaires au Théâtre du Rond-Point.
[RÉTRO] Cinq années de Friction, cinq articles parmi les plus lus
Paradis-Klub
J’espère que le soleil brillera pour toi cette nuit
[VENDREZIK] La première compilation des Disques du lobby
La science-fiction « intime et anarchiste » de Sabrina Calvo
À la TV ce jeudi : les Out d’or 2021
Au Cœur du bois
Soirée Docu Friction au Vidéodrome2 à Marseille
KALIKA dévoile le clip de « Touche-moi » en duo avec la rennaise Joanna
Nos recommandations pour l’édition 2021 de Chéries Chéris
« Male gayze » : regarder et être regardé
Déconstruire. Reconstruire
« La lutte pédée est féministe » : Lucien Fradin raconte son nouveau livre et spectacle, Portraits Détaillés
Lussas 2021 : nos coups de coeur (en retard)
Sa voix
Cowboy, fag boy
Rencontre avec Trans Fag Trad
Une vie de PD à écrire – Chronique du roman 28 jours, de L. Bigorra
Retrouver la sueur
Tabor, Procréation Magicalement Assistée
Incantations fougères
J’ai envie de rendre les coups
La Queer Week est de retour avec une journée self-care et zine fair et on y sera
Le gong de la masculinité
« Si la littérature ne dérange pas, elle est vaine » – Entretien avec Emmanuelle Bayamack-Tam
SQFD : Sons Queer Féministes Déter !
La Proud Summer playlist de Friction
« Grand Korg malade », un LP entre hommage aux musiques électroniques sombres et irrévérence
It’s A Sin : hommage politique à l’amitié pédée
« Quand tu clubbais, le podcast », une pépite pour patienter jusqu’à la réouverture des clubs
« Les aventures de China Iron », western queer et féministe
Poésie : « Dépravé »
Faites l’amour, pas la guerre : « Les Oiseaux du Temps » d’Amal El-Mohtar et Max Gladstone
La Déferlante est de retour
« Ne pas avoir de terrain, c’est les avoir tous » – Entretien avec Céline Minard
“Drag Save the Queen”: les drag queens parisiennes sur le petit écran
Retour au ciné : on a vu le film « Deux »
Sex is good but
La Bulle : (sur)vivre entre nous
Pédé(s)
« Brokeback Mountain » et la blague homophobe
Un clip psyché pour fêter l’approche de l’été
C’est cliché mais c’est parfait
Signé sur bORDEL records, artiste de L.A
On a lu « Trop noir, trop blanc : Une enfance sud-africaine dans la peau d’un Métis » de Trevor Noah
Le choix du neutre, enjeux de traduction : traduire Kae Tempest aujourd’hui
Poésie : « Nos teintes »
Aujourd’hui, vendredi 23 avril, sort le nouvel EP du duo parisien électro-dark Minuit Machine. Après s’être fait connaître pour sa musique aux influences très 80’s et plutôt sombre – Hélène de Thoury explique avoir choisi le nom du groupe en référence à la fois à la nuit et à l’électronique – le groupe s’oriente désormais vers un son plus électro.
L’EP « Basic Needs » de Minuit Machine est un condensé de sonorités cold, EBM, et darkwave. D’un track à l’autre, les émotions varient, et nous transportent au gré des humeurs tumultueuses du duo. Le titre éponyme « Basic Needs » joue sur le contraste évident entre les paroles, nonchalantes et blasées, et la composition, dansante, enjouée, aux accents orientaux. Le second track « Sisters » est un chant de ralliement destiné aux femmes, rappelant ce lien unique et indéfectible qui les unit. Enfin, l’EP se conclut sur « Vanity », un morceau froid mais habité, alliant rythmes EBM et synthés darkwave.
MINUIT MACHINE « Basic Need »
Sortie le 23 avril (WARRIORECORDS)
La Lune et les Abysses : « Miroir »
Je ne lirai pas le « Journal sexuel d’un garçon d’aujourd’hui »
Les Dix Plaies d’OXYTOCINE #6 : Les Baisers Volés
Culs et chemises – Itinéraire mode d’un pédé et d’une lesbienne
Avril est un mois balisé et emmêlé. Coincé.es entre l’humour tordant d’un premier avril confiné et l’espoir d’un premier mai engagé, nous attendons patiemment de nous découvrir de nos fils avant de faire ce qu’il nous plaît. Dans le respect de la tradition technique, le fil d’Ariane est déployé, les petites blettes plantées à Capri s’en remettent à la régularité des fils pour pousser droit avant de s’épanouir au soleil puis d’arriver à nos assiettes. Une fois cueillies, pour lever les fils des côtes de blettes, il faudra alors entailler la base de celles-ci sans tout à fait les inciser et tirer pour que les fils viennent. Les fils d’avril sont labyrinthiques, tantôt balise, tantôt doudoune puis maillot de bain, demeure une certitude : le fil d’Ariane tiendra bon jusqu’à l’heure de la récolte et du déjeuner. Et souvenons-nous, malgré ses larmes, Ariane a rejoint l’Olympe.
Sophia Djitli nous offre ce poétique édito qu’elle a également publié sur le site de la cité de l’agriculture… car chez Friction Magazine, on aime la nature 👀🐇
Des meufs racontent des histoires. De mon plein gré, de Mathilde Forget
De mon plein gré, entretien avec Mathilde Forget
« Dance in the Dyke », le nouveau clip de Namoro
The eyes : une revue Transgalactique à propos de la photographie, du genre et de transition
Queendom – Le documentaire drag
Natalie Wynn aka ContraPoints, Youtubeuse trans et reine de la dialectique
Et Chloé Delaume sortit un album…
Un fabuleux entretien avec Chloé Delaume
Poésie: “Déconstruction en instance” – 9. Renversement et bilan
On a lu « Jonas », le premier roman de Lily Arcœur
Quand tu clubbais version augmentée : (re)découvrez un extrait du livre de Crame
Les copines de Namoro, que vous avez pu écouter lors de l’une de nos soirées LIVE, ont sortie un nouveau clip à regarder sans modération !
En featuring, des photos de maman Gaëlle Matata.