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FRICTION PRÉSIDENT·E : les photos !
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Retrouver la sueur
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« Dans une rupture, il y a mille ruptures possibles, imaginables et inimaginales » : rencontre avec Silly Boy Blue
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« Si la littérature ne dérange pas, elle est vaine » – Entretien avec Emmanuelle Bayamack-Tam
Retournez laver votre linge sale à la Laverie du Klub
Rassemblement contre les violences homophobes et en hommage à Samuel
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Marche des Fiertés Antiraciste et Anticapitaliste à Paris
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Retour au ciné : on a vu le film « Deux »
Sex is good but
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Poésie : « Nos teintes »
Aujourd’hui, vendredi 23 avril, sort le nouvel EP du duo parisien électro-dark Minuit Machine. Après s’être fait connaître pour sa musique aux influences très 80’s et plutôt sombre – Hélène de Thoury explique avoir choisi le nom du groupe en référence à la fois à la nuit et à l’électronique – le groupe s’oriente désormais vers un son plus électro.

L’EP « Basic Needs » de Minuit Machine est un condensé de sonorités cold, EBM, et darkwave. D’un track à l’autre, les émotions varient, et nous transportent au gré des humeurs tumultueuses du duo. Le titre éponyme « Basic Needs » joue sur le contraste évident entre les paroles, nonchalantes et blasées, et la composition, dansante, enjouée, aux accents orientaux. Le second track « Sisters » est un chant de ralliement destiné aux femmes, rappelant ce lien unique et indéfectible qui les unit. Enfin, l’EP se conclut sur « Vanity », un morceau froid mais habité, alliant rythmes EBM et synthés darkwave.
MINUIT MACHINE « Basic Need »
Sortie le 23 avril (WARRIORECORDS)
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Avril est un mois balisé et emmêlé. Coincé.es entre l’humour tordant d’un premier avril confiné et l’espoir d’un premier mai engagé, nous attendons patiemment de nous découvrir de nos fils avant de faire ce qu’il nous plaît. Dans le respect de la tradition technique, le fil d’Ariane est déployé, les petites blettes plantées à Capri s’en remettent à la régularité des fils pour pousser droit avant de s’épanouir au soleil puis d’arriver à nos assiettes. Une fois cueillies, pour lever les fils des côtes de blettes, il faudra alors entailler la base de celles-ci sans tout à fait les inciser et tirer pour que les fils viennent. Les fils d’avril sont labyrinthiques, tantôt balise, tantôt doudoune puis maillot de bain, demeure une certitude : le fil d’Ariane tiendra bon jusqu’à l’heure de la récolte et du déjeuner. Et souvenons-nous, malgré ses larmes, Ariane a rejoint l’Olympe.
Sophia Djitli nous offre ce poétique édito qu’elle a également publié sur le site de la cité de l’agriculture… car chez Friction Magazine, on aime la nature 👀🐇